Je me souviens de lui,
son odeur,
son charme italien,
puis son accent charmant,
à ses côtés,
il fut un beau temps.
La vie continua,
on commença à se connaître,
nos qualités,
mêmes nos défauts,
pourtant il fut présent,
aux côtés de lui,
je ressentis une tristesse,
la colère submergée.
Les vestiges d’une vie commune,
il est parti,
décédé dans sa chambre,
seul sans moi,
si j’avais été à ses côtés :
est-ce qu’il avait été en vie ?
Je le sais,
la mort est inévitable,
il faut juste vivre,
l’instant,
la beauté,
avant qu’il soit trop tard,
car la vie est courte,
je fus à ses côtés…
… l’aimer jusqu’à l’impossible !