L’inquiétude, un sentiment fort qui vous préoccupe.
Se trouver face à un licenciement est un moment difficile pour la personne, le désespoir s’y installe, mais je suppose qu’on pourrait également se trouver face à une bonne chance, qu’on puisse prendre la décision de tenter sa chance.
Bien, j’y suis et il faut que je prenne une décision, ma photographie commence à être appréciée par des gens et on me contacte pour faire de photo, je pourrais faire de la photo à la Rochelle, car c’est dans les Deux-Sèvres où je m’installerais dans ce cas-là et ce n’est pas loin de la Rochelle.
J’adore la mer, voire l’océan Atlantique, j’ai grandi au bord de la mer Baltique et ça me manque. J’adorerais vivre dans les Deux-Sèvres, mais pas ce poste-là, il me déplaît, je voudrais faire autre chose, pas nécessairement chauffeur, mais un travail qui me permet d’avoir une relation avec des clients, comme le mien actuel, je suis chauffeur. Mais au moins la société me propose un poste, par contre il faut me trouver d’autre chose. Je n’ai rien contre un changement, voire un reclassement de poste, mais je ne peux pas travailler dans un atelier sans bouger, c’est dans ma nature.
J’ai une telle facilité à aller vers les gens, je suis également polyglotte, qui signifie que je parle plusieurs langues. J’ai été formée mécanicienne, poids lourd, j’aime bien résoudre les problèmes techniques, mais pas sans un contact avec la clientèle. J’ai une facilité à apprendre à parler une nouvelle langue, en la pratiquant. J’ai été chauffeur de taxi à Stockholm, le contact avec les clients fut très bon et agréable. Puis j’ai été aide soignante, travaillé avec une personne atteinte du SIDA, qui ne me fait même pas peur, car je sais comment le VIH fonctionne. J’ai étudié la biologie et également la sociologie.
Bien, je suis ouverte aux propos d’un poste intéressant, qui me convient, voire ma personnalité. Pour bien travailler faut un travail plaire à une personne, la formation n’en dit pas trop. Le contact avec la clientèle est important pour moi, pour ma personnalité, je cherche à trouver une solution qui la convient, je pense à la clientèle. Par contre si le consortium CONIBI me propose un poste, je devrais y répondre que je n’aborderai jamais le « TITANIC », c’est CONIBI qui a rompu le contrat avec nous, et je sais bien qu’il y a de clients qui sont déçus du service de CONIBI. C’est moi qui ai le contact direct avec les clients de CONIBI, jusqu’à la fin de l’année. Bien, j’ai l’impression que le consortium CONIBI est en train de couler, son iceberg s’approche… Être gourmand ne mène à rien d’autre que la faillite en long terme.