Je suis originaire de Södertälje, près de la capitale suédoise, Stockholm est une belle ville bâtie sur 14 îles, mais je me souviens de mes fêtes de Noël au comté de Jämtland, au Nord de la Suède, ma famille qui vit près du cercle polaire.
Le chien, un berger allemand, qui me permettait tant de choses quand il ne laissait aucun enfant s’approcher de lui, mais je pouvais lui caresser. Il fît beau, quelques mètres de neige dehors, un paysage blanc et bien sûr, on a fait de bonhommes de neige, mais aussi nos beaux châteaux de neige.
Les températures basses, -40°C, étaient normales, mais un froid sec et en plus on était bien habillé. Un habit adapté au grand froid, bien tout était adapté au grand froid. les longues nuits que j’ai vécues, mais on savait s’en occuper à la fin des années 1970.
Vy över Östersund från Gustavsbergsbacken på Frösön (Photo credit: Wikipedia)
C’était au Nord de la ville d’Östersund, je viens d’écrire un roman, un polar, sur cette région, je vais le publier maintenant en France, peut-être le traduire en suédois. Le cercle polaire m’intéresse, la toundra suédoise est belle. Mais c’est dommage que je n’ai pas visité l’hôtel de glace à Kiruna, la ville située au Nord. Ce que je devrais faire est d’écrire un polar qui se passe à l’hôtel de glace.
Le seul problème est l’été, les moustiques me gênent. Je suis allergique aux insectes, mais j’adore la nature sauvage du grand Nord. Bien, je crois c’est pour ça que le film « Into the wild » me plaît, Sean Penn a tourné un film exceptionnel.
Mais un autre film me fit penser aux Sami, le peuple avec ses hardes de rennes, « loup »… Une histoire qui pouvait se passer en Suède, la peur du loup mène à un désastre écologique. Et c’est la même nature que je connais si bien…
La beauté du grand Nord est sauvage, on coure un grand risque, il faut juste connaître la vie, au cercle polaire il y a de longues nuits, un été court et intense. Mais j’adore ce beau paysage sous la neige.
Et jouer du hockey sur glace sur un lac glacé me rendit un plaisir comme enfant, juste être là dehors et la rivière fut belle, mais si dangereuse. Je suppose que je supporterais les longs hivers, mais l’été devrait être un enfer à cause de mon allergie aux insectes. En fait, la forêt boréale en Scandinavie est la même qui couvre l’hémisphère nord. Elle est très importante pour la planète.
Mais j’ai grandi au bord de la mer Baltique, et les hivers humides sont pires que ceux au Nord de la Suède. Et la toundra me manque…
il y eut quelque chose dans la langue de mes ancêtres,
une mélodie m’appela de loin,
la provenance de cette mélodie,
la France avec sa musique,
et l’artiste chantait « Je te donne »,
en duo avec un autre grand…
… elle est plus forte que moi,
la belle musique…
« Se bastasse una canzone » = Si une chanson suffisait
Per le Italiani – Pour les Italiens :
Però io parlo anche italiano, una bellissima lingua latina, e la canzone italiana è mervigliosa, e amore mio, chi non c’è, viene d’Italia…La mia lingua dell’amore, però anche le parole chi sono della merda… E o da quando parliamo la vita deve essere bella… E allora, si parla della vita, però lo ho capito, è difficile da vivere insieme…
Je me suis allée à mon théâtre d’amateurs à nouveau, un plaisir que j’apprécierais si rien ne m’avait happée, mais j’adore monter sur scène et les réactions des spectateurs me font souvent sourire, un bon critique et je devrais être une bonne actrice si j’arrive à remplacer un acteur sans avoir répété la scène, même s’il s’agit de mon texte écrit pour une autre scène que j’ai dû adapter à une autre scène à l’instant même… Une pure improvisation !