Quand l’on a tout abandonné, sans espoir, attendant à la fin, plus d’envie d’y vivre, l’on se dit quand-même d’accrocher à la vie.
L’espoir perdu, une âme blessée, rien ne vaut le soutien de son entourage, ceux qui sont là, présents pour leur ami
ce qui m’arrivait fut un désastre, pourtant je porte mon masque, celui que je devrais ôter, faire un appel de détresse.
Je serais mieux sans connaître certaines personnes, j’eus de nombreux soucis, cela me rendit désespérée, aidez-moi.
vous voyez, mon désespoir présent, qui me fit du mal, apathique, je n’ai plus aucun espoir, pourtant j’y souris.
N’oubliez pas, le silence peut être un appel d’aide, m’aider à surmonter ces épreuves qui pèsent sur mon cœur aujourd’hui.
Non, la vie ne m’intéresse plus, que du malheur qui m’attendra, mon cœur y bat, dans l’ombre vous me trouverez.
Pourtant je survécus ce monde parallèle à Paris, les traces présentes, déprimée, la vie à la rue, des foyers, il fut une bataille.
Je ne kiffe plus rien, ma volonté d’y vivre affaiblit, mon envie de me faire plaisir disparaît, mes larmes coulant sur mes joues.
Je sais bien qu’il faut se battre pour aller de l’avant, une dépression pesant, mon souffle me semble vous demander de m’aider.
Aucune idée pour obtenir l’aide à surmonter cette barrière, laquelle j’essaie désespérément de franchir, au secours
Je sais bien que je ne suis qu’un être humain demandant de l’aide, une détresse, je tiens à la vie malgré tout.
L’envie de mourir qui pèse sur le cœur, le désordre dans ma vie, je n’arrive à rien, j’espère seulement que je puisse vraiment vivre.
M’aider à aider les autres, finalement je pourrais me rendre utile, il faut juste que je puisse avouer que j’ai des soucis.
A chaque fois que l’espoir se montre, soudain il disparaît à nouveau, il fut jadis une vie meilleure m’attendant.
Que puis-je dire ?
J’y remets le masque qui cache mes larmes coulant sur mes joues.